paiement des journaliers au moins 2 fois par mois

Le paiement du salaire obéit à certaines règles formelles (périodicité, mode de paiement, destinataire en cas de paiement par chèque ou espèces). L’employeur et le salarié sont tenus de respecter ces conditions. Article L3242-3

En contrepartie du travail fourni, le salarié doit percevoir de la part de l’employeur une rémunération. Celle-ci est désignée différemment selon les secteurs d’activité : salaires, appointements, traitements,..et prend diverses formes : paiement au rendement, au temps, en fonction du chiffres d’affaires.
Même si l’employeur et le salarié sont libres de négocier le montant du salaire, l’employeur sera tenu de verser le minimum légal (SMIC) ou conventionnel.

Un droit pour le salarié, une obligation pour l’employeur
Le paiement du salaire par l’employeur est une obligation contractuelle : le salarié fournit une prestation de travail et l’employeur verse en contrepartie une rémunération.
Ainsi, cette obligation disparaît lorsque ce travail n’a pas été effectué.
Ce principe souffre toutefois de nombreuses exceptions : en cas de maladie ou d’accident par exemple, l’employeur doit maintenir le plus souvent tout ou partie du salaire pendant un certain temps.

Un mode de paiement imposé par la loi
L’article L 3241-1 du code du travail énonce que le salaire doit être payé en espèces, par chèque barré ou par virement bancaire ou postal. Au-delà d’un montant net de 1500 euros nets, le virement par chèque barré ou par virement bancaire ou postal est obligatoire.
Lorsque le salarié demande un acompte à son employeur, celui-ci doit être versé en espèces, sous réserve que le montant total du salaire n’excède pas 1500 euros.
A quel moment doit être versé le salaire ?
Les articles L 3242-1 et suivants du code du travail distingue 3 hypothèses pour le versement du salaire. Le paiement du salaire se fait :
-une fois par mois pour les bénéficiaires de la mensualisation -deux fois par mois pur ceux qui ne bénéficient pas de la mensualisation (salariés travaillant à domicile, salariés saisonniers, salariés intermittents et salariés temporaires). -tous les trois mois pour les VRP (voyageurs et représentants de commerce).
Sauf paiement par virement, le salaire doit être versé un jour ouvrable. Les juges considèrent que la paie doit s’effectuer sur les lieux de travail et pendant les heures de travail.
Notons qu’au moment du paiement du salaire, le salarié doit recevoir un bulletin de paie, peu important la nature de la rémunération, son montant, son mode de paiement.
Sanctions en cas de non-respect de l’ensemble de ces dispositions
Le non respect des dispositions relatives aux modes de paiement, à la périodicité du paiement, à la date, au lieu de paiement et au bulletin de paie est passible d’une amende prévue pour les contraventions de 3ème classe (2 250 euros pour les personnes morales).
L’employeur peut être également condamné à verser des réparations civiles au salarié: -intérêts moratoires en cas de retard de paiement -dommages et intérêts en cas de préjudice distinct de celui résultant du retard dans le versement du salaire
Dans certains cas, les juges considèrent que le retard dans le paiement du salaire, et a fortiori le défaut de paiement de celui-ci autorisent le salarié à prendre acte de la rupture de son contrat de travail, c’est à dire rompre son contrat sans préavis, aux torts de l’employeur.
Par ailleurs, l’employeur qui se soustrait à ses obligations en matière de bulletin de paie se rend coupable du délit de dissimulation d’emploi salarié.

Le paiement du salaire est versé une fois par mois, sauf si le salarié appartient à l’une des catégories suivantes : salarié saisonnier, temporaire, intermittent ou travaillant à domicile.

Le salarié ne bénéficiant pas de la mensualisation est payé au moins 2 fois par mois. L’employeur ne peut dépasser 16 jours d’intervalle entre deux versements du salaire.

Le respect de ces périodicités de paiement n’est imposée que pour le salaire, et ne s’applique pas aux différentes primes et gratifications éventuellement versées au salarié voir également http://vosdroits.service-public.fr/F2308.xhtml

 

génération Y toujours mais la génération X se rebiffe

Quelques articles au cours d’une revue de presse instructive

http://www.lexpress.fr/emploi-carriere/emploi/generation-y-mode-d-emploi_1209924.html

http://www.cadredesante.com/spip/profession/management/article/comprendre-la-generation-y-pour-mieux-la-manager.html?goback=%2Egde_1416777_member_194115585

http://www.cadresetdirigeants-magazine.com/manager/ideesetopinions/generationyunconcentrededynamismeetdinnovation/

http://management.lesechos.fr/directions-ressources-humaines/remuneration/pour-fideliser-les-salaries-de-la-generation-y-primez-les-1664.php

http://travailetequilibre.com/2012/11/05/culture-y-une-nouvelle-valeur-travail/?goback=%2Egde_4300446_member_182360815

http://www.rhinfo.com/actualites/article/details-articles/cat/29/43/18006/79/lobservatoire-des-jeunes-gnration-y-encore-un-article-?utm_source=&utm_medium=&utm_campaign=

Mais la génération X se rebiffe http://www.widoobiz.com/chroniques/recherche-innovation/generation-x-les-quadra-se-rebiffent/27121

et toute ressemblance avec des faits ou des personnes existants ne serait bien entendu que fortuite…

nouvel indice IRL des loyers et gardes meubles

L’Insee a publié le 11 janvier 2013, le dernier Indice de référence des loyers (IRL) qui sert de base aux propriétaires au calcul de révision des loyers. Il s’établit désormais à 123,97 soit une hausse de + 1,88% pour le quatrième trimestre 2012, après avoir connu une augmentation de +2,15% au troisième trimestre.

Calculé sur l’inflation, l’IRL enregistre une hausse continue depuis le quatrième trimestre 2009 où il avait connu une légère baisse de -0,6%.
Comment réviser son loyer ? Une clause spécifique du bail peut fixer la révision du loyer à une date convenue par les parties chaque année ou, à défaut, au terme de chaque année du contrat. Cette révision ne peut excéder la dernière variation de l’IRL publiée à la date de référence qui correspond à la moyenne, sur les douze derniers mois, de l’évolution des prix à la consommation hors tabac et hors loyers (inflation).
Cette révision sur la base de l’IRL concerne les locaux à usage d’habitation principale ou à usage mixte professionnel et d’habitation principale ainsi que les garages, places de stationnement, jardins et autres locaux, loués accessoirement au local principal par le même bailleur. Ils sont également très utilisés en matière de revalorisation de garde-meubles ; loyer et:ou assurance.

http://www.maisonapart.com/edito/immobilier-gestion-du-bien/proprietaire-locataire/l-indice-de-reference-des-loyers-augmente-de–188–7625.php

Taux de cotisation des accidents du travail 2013

Les taux de cotisations au titre des accidents du travail sont fixés annuellement en fonction du type de tarification (collective, mixte ou individuelle).

Un arrêté du 24 décembre 2012 publié au J.O du 30 http://www.legifrance.gouv.fr/jopdf/common/jo_pdf.jsp?numJO=0&dateJO=20121230&numTexte=56&pageDebut=21068&pageFin=21094

fixe les nouveaux taux de cotisation des accidents du travail pour l’année 2013.

1 – Entreprises occupant habituellement moins de 10 salariés (tarification collective)

Le taux collectif applicable aux entreprises de déménagement et garde-meubles remonte à 6,70% contre 6,30% en 2012 (6 % en 2011, 5,90 % en 2010, 6,10% en 2009,).

Les taux collectifs sont fixés comme suit :

– (60.2NA) Déménagement et garde-meubles = 6,70 % contre l’an dernier 6,30 %

– (60.2MD) Transport routier de marchandises = 5,40% contre l’an dernier 5,00 %

– (60.2PC) Location de véhicules industriels avec conducteur = 6,20% contre l’an dernier 5,70 %

Ces nouveaux taux sont applicables aux rémunérations versées du 1er janvier au 31 décembre 2013.

Cependant, les entreprises doivent recevoir la notification de leur taux par la caisse régionale de sécurité sociale avant de les appliquer pour le calcul de leurs cotisations. En cas d’absence de notification en temps opportun, il est admis de retenir provisoirement le taux collectif ou propre à l’entreprise x 0,8.

2 – Entreprises occupant de 10 à 199 salariés (tarification mixte)

Pour ces entreprises, il est appliqué une tarification mixte comportant une fraction du taux collectif et une fraction du taux individuel de l’entreprise, en fonction de l’effectif moyen de l’entreprise.

3 – Entreprises occupant au moins 200 salariés (tarification individuelle)

Pour ces entreprises, il est appliqué une tarification individuelle déterminée en fonction du coût réel du risque.

Une possibilité de ristourne existe pour les établissements de plus de 10 salariés soumis à la tarification individuelle, lorsque le taux de cotisation de ces établissements est égal ou supérieur au double du taux collectif de la branche d’activité.

Pour le calcul du taux individuel ou mixte (art 642-6-2 à 4 du Code de la sécurité sociale)

  • La majoration forfaitaire pour la couverture des accidents de trajet est porté à 0,27%,
  • La majoration pour « charges générales » est porté à 51% à laquelle s’ajoute une majoration pour « charges spécifiques » de 0,59% des salaires.

Voir : http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000026863252

Calcul des cotisations des entreprises ayant plusieurs établissements

Lorsqu’une même entreprise possède plusieurs établissements situés dans la circonscription d’une même caisse régionale de sécurité sociale et appartenant à la même catégorie professionnelle, un taux de cotisation commun aux divers établissements est notifié à l’employeur par la caisse régionale.

Taux de cotisation pour les entreprises du Haut-Rhin, du Bas-Rhin et de la Moselle

Un taux collectif, établi par la caisse régionale de Strasbourg, est applicable pour toutes les entreprises occupant moins de 50 salariés augmente à :

  • (602 N) Déménagement et garde-meubles = 5% contre l’an dernier 4,50 %
  • (602 M) Transport routier de marchandises = 5% contre l’an dernier 4,50 %

Sièges sociaux et bureaux

Le taux de cotisation des accidents du travail pour les sièges sociaux et bureaux constituant des établissements distincts et pour un effectif global habituel inférieur à 20 salariés reste fixé à 1,10%.

Pour en savoir plus sur les taux http://www.ameli.fr/employeurs/vos-cotisations/les-baremes.php ou monter un dossier, ou comment réduire votre taux d’AT, http://www.ameli.fr/employeurs/vos-cotisations/incitations-financieres-reductions-de-cotisation.php

A réception de votre taux de cotisations accidents du travail 2013, vous disposerez d’un délai de deux mois pour en vérifier le calcul et introduire, le cas échéant, une contestation. http://viguiesm.fr/ se tient à votre disposition pour vous conseillez et vous assistez dans cette démarche.

Accord sur la sécurisation de l’Emploi

Après plus de quatre mois de négociations sur la modernisation du marché du travail, déjà abordé ici (voir notamment http://viguiesm.fr/nouvelle-menace-de-taxation-sur-les-cdd/

http://viguiesm.fr/le-patronat-soumet-son-texte-sur-lemploi-et-la-securisation-des-parcours-professionnels/)

les partenaires sociaux se sont finalement entendus, vendredi 11 janvier, sur un compromis d’accord.

Le texte prévoit à la fois plus de flexibilité pour les entreprises et de nouvelles garanties aux salariés. Après d’âpres négociations au sein même de chaque camp, l’accord devrait être valider par les trois organisations patronales (Medef, CGPME, UPA) et trois syndicats (CFDT, CFE-CGC, CFTC) ; la CGT et FO, ayant refusé de signer l’accord.

Un projet de loi reprenant les dispositions de l’accord interprofessionnel devrait être présenté en Conseil des ministres début mars, puis examiné au Parlement pour une promulgation espérée fin mai. Revue en détail des principales mesures.

Des procédures d’embauche et de licenciement plus souples…

Aide à l’embauche d’un jeune de moins de 26 ans en CDI L’accord prévoit une exonération des cotisations patronales d’assurance-chômage dans le cas de l’embauche d’un jeune de moins de 26 ans en CDI. Applicable pendant trois mois après la fin de la période d’essai, le dispositif est cumulable avec le contrat de génération.

Délai supplémentaire pour les effets de seuil L’entreprise dépassant les 10 ou les 49 salariés disposera d’un « délai d’un an pour la mise en œuvre des obligations complètes[…] sous réserve que l’organisation des élections des représentants du personnel intervienne dans les trois mois du franchissement du seuil d’effectifs. »

Accords de maintien dans l’emploi Pendant deux ans, les entreprises rencontrant des difficultés économiques pourront proposer une modulation des salaires ou du temps de travail. En contrepartie, l’employeur s’engage à ne pas licencier et doit prévoir par la suite un plan de « partage du bénéfice économique » de l’entreprise. En cas de non-respect, il s’exposera à des sanctions.

Procédure du plan social modulée

1. Le texte prévoit la possibilité pour les entreprises de s’affranchir du droit du travail en recourant à un accord interne encadrant les modalités de mise en œuvre et le contenu de son plan social (nombre de réunions, encadrement des négociations, ordre des licenciements, organisation des reclassements en interne avant la fin de la procédure…). Sa validité peut être contestée dans un délai de trois mois. Le salarié dispose quant à lui d’un an pour contester son licenciement.

2. Le plan social doit être homologué par le comité d’entreprise puis communiqué à l’administration du travail. Cette dernière doit motiver son refus. Dans ce cas, l’entreprise doit remettre un autre document. Le délai de réponse varie en fonction du nombre de licenciements (2 mois pour 10 à 99 salariés, 4 mois pour les licenciements de 250 salariés et plus). Le seuil de déclenchement d’un plan social, lui, reste inchangé (licenciement de 10 salariés ou plus sur 30 jours).

Mobilités internes facilitées  Les entreprises n’auront plus à engager une procédure de plan social quand elles initient une réorganisation interne sans licenciements mais qui induisent des mobilités internes. Elles devront pour ce faire ouvrir des négociations prévoyant notamment des dispositions d’accompagnement pour les salariés concernés (ex : formation, aide à la mobilité géographique…). Si le salarié refuse cette proposition de mobilité, il ne pourra pas bénéficier des mesures de reclassement induites par un licenciement économique.

Simplification du chômage partiel L’accord prévoit une simplification et une unification du chômage partiel et renforce l’incitation à la formation pendant les périodes chômées.

Extension du contrat de travail intermittent expérimenté L’accord lève l’obligation d’un accord de branche pour recourir à un contrat de travail intermittent. Cette disposition devrait être dans un premier temps expérimentée avant d’être définitivement entérinée.

… mais de nouvelles contraintes

Taxation des CDD La cotisation patronale d’assurance-chômage passera de 4% actuellement à 7% pour les contrats de moins d’un mois, à 5,5% pour ceux entre un et trois mois et à 4,5% pour les CDD dits d’usage comme les contrats journaliers. L’intérim est exclu de cette surtaxation tout comme les contrats saisonnier et les CDD de remplacement.

Travail à temps partiel : 24 heures par semaine minimum L’accord instaure une durée minimale de 24 heures par semaine pour les salariés travaillant à temps partiel. Cette mesure doit être appliquée d’ici au 31 décembre 2013. Les salariés de particuliers employeurs et les jeunes étudiants ne sont pas concernés. Les heures supplémentaires sont majorées de 10% les trois premières heures et de 25% les suivantes.

Généralisation de la complémentaire santé Les branches doivent mettre en place une complémentaire santé obligatoire d’ici au 1er janvier 2016. Elles ne pourront pas imposer le choix de l’organisme assureur aux entreprises. Si l’entreprise ne dépend pas d’un accord de branche, elle doit dès le 1er juillet 2014 offrir une couverture collective à ses salariés comprenant un pack de soins minimum. Cette couverture sera financée à parité par l’employeur et le salarié. Cette mesure avait provoqué un clash entre l’UPA et le Medef ; l’UPA dénonçant un projet d’accord organisant « la flexibilité de l’emploi au seul profit de quelques grandes entreprises françaises ».Le coût de cette généralisation est estimée à 3 milliards d’euros.

Le transport routier (application obligatoire depuis le 1er janvier) et le déménagement (application au 1er avril 2013) ne sont donc pas directement concernés par cette mesure.

Les droits à la formation transférables d’une entreprise à l’autre L’accord prévoit la création d’un compte personnel de droits à la formation qui suivra les salariés jusqu’à leur retraite. Leurs droits seront ainsi transférables dans leur intégralité d’une entreprise à une autre quelle que soit la fréquence des changements d’employeur.

pour en savoir plus:  http://www.cadresetdirigeants-magazine.com/actu/social-emploi/pourquoi-laccord-patronat-syndicats-est-historique/?goback=%2Egde_1416777_member_204376685

http://clesdusocial.com/france/fr03-emploi/points-principaux-de-accord-national-interprofessionnel-sur-la-securisation-de-l-emploi.htm

http://www.chefdentreprise.com/Breves/Accord-sur-la-reforme-du-marche-du-travail-plus-de-flexibilite-pour-les-entreprises-mais-de-nouvelles-obligations-50773.htm#xtor=RSS-13&utm_source=Rss&utm_medium=Rss&utm_campaign=FILACTUS_EMKG

voir l’accord:ani-securisation-emploi

Les normes IFRS et toutes ces normes font peur aux entrepreneurs de PME

Et pourtant, je me souviens d’avoir eu une formation adéquate sur le sujet du temps ou j’étais administrateur de D&O, mais comme me disait encore récemment un chef d’entreprise qui a son franc parlé, « on y comprend plus rien ».

Effectivement, même avec une maîtrise d’économie et de droit, deux 3ème cycles, on n’y comprend parfois plus rien à cette surenchère de nouvelles normes, IFRS, Solvability I puis 2.

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0202494440167-trop-compliquees-ces-normes-font-peur-aux-pme-528008.php

Et que dire du code du travail? http://www.capital.fr/carriere-management/dossiers/notre-code-du-travail-bride-les-energies-et-les-embauches-802575

Heureusement, Viguié Social Mobilité est là (pour le code du travail, et accessoirement le code des transports, car pour le reste, je renonce)…..

Alerte orange: le plan neige passe en alerte 2

plus d’infos notamment sur http://94.citoyens.com/2013/neige-sur-paris-alerte-orange-a-partir-de-ce-soir,14-01-2013.html

et ce mardi, il neige toujours: http://www.flash-transport.com/news/circulation/1531699/1531703/Neige_circulation_difficile_dans_le_Nord_et_l_Est

http://www.bison-fute.equipement.gouv.fr/diri/Accueil.do

http://www.leparisien.fr/societe/neige-27-departements-en-vigilance-orange-l-ile-de-france-epargnee-15-01-2013-2482659.php

 

 

Les 3èmes Assises de la protection sociale du transport et de la logistique se sont tenues les 8 et 9 janvier 2013

 Destinées à se pencher sur l’harmonisation sociale en l’Europe, il s’agissait d’un sujet important pour le transport routier.

Quelle harmonisation des régimes de protection sociale en Europe ? C’est un des thèmes de débat qui a été abordé, mardi 8 janvier 2013 à Paris, par les partenaires sociaux du transport lors des troisièmes Assises de la protection sociale du transport et de la logistique.

Une étude  sur la qualité de vie au travail au sein de l’UE dans le transport-logistique, et sur les conditions d’une harmonisation des dispositifs a été présentée pour l’occasion.

voir notamment: http://www.wk-transport-logistique.fr/actualites/detail/61475/assises-de-la-protection-sociale-du-transport-l-harmonisation-des-regimes-sociaux-europeens-sur-la-sellette.html

Parmi les thèmes qui m’ont le plus intéressé, l’amélioration de la qualité de vie au travail, et notamment l’hygiène de vie.

Outre qu’il s’agit d’un cursus dans lequel Viguié Social Mobilité a quelques compétences et peut vous proposer des formations, http://www.dps-services-demenagement.com/formations/formateurs en partenariat avec http://www.dps-services-demenagement.com/formations/formations-propose notamment, ces formations sont obligatoires pour tout nouvel embauché en CDI dans le cadre du volet prévention de l’accord pénibilité en déménagement

Espérons qu’elles se tiennent effectivement bien avec des salariés réellement compétents, car à défaut et en cas d’accident, la responsabilité pénale des dirigeants pourrait être engagée.

Deux regrets cependant lors de ces assises, à part les administrateurs de D&O Klesia, il n’y avait pas grand monde aux assises de la protection sociale.

Par ailleurs, lors de la séance plénière de compte rendu des groupes de travail (qui se tenaient de façon simultanée, empêchant d’assister à tous), les conclusions m’ont paru un peu convenues. C’est-à-dire que les comptes rendus d’ateliers du matin lus l’après midi rendaient compte, soit de points non abordés, soient ont oubliés certains points importants, comme s’ils avaient été écrits et tapés pour rendre compte d’ateliers avant même que les ateliers ne se tiennent. Mais tout le monde était content.

Ecotaxe, ou en est-on ? çà approche…

Petite revue de presse récente sur le sujet, avec les taux de répercussion.

http://www.wk-transport-logistique.fr/actualites/html/ecotaxe-poids-lourds/ecotaxe-poids-lourds.html#casseteteecotaxepoidslourds

http://www.ecotaxe-pl.com/ecotaxe-pl-moi/quel-est-le-co%C3%BBt-de-la-taxe-et-sa-r%C3%A9percussion/

http://www.flash-transport.com/news/economie/1531707/1531711/Ecotaxe_les_taux_de_repercussion_proposes

Mais privatisation des nationales à un consortium italien, 20% de frais de collecte, impôt déguisé, baisse du pouvoir d’achat… c’est tout cela à la fois

http://alsace.france3.fr/2013/01/10/l-ecotaxe-se-met-tout-doucement-en-route-177945.html

pas si simplifiée que çà…

http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/01/03/vers-une-ecotaxe-simplifiee-pour-les-poids-lourds_1812690_3244.html

et encore :

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/01/03/20002-20130103ARTFIG00549-routiers-l-ecotaxe-rapportera-12milliard-par-an.php

Mais un petit déménageur d’Ile de France se bat toujours tout seuls et contre tous. Pas tout seul, car il a déjà recueilli plus de 300 signatures à son appel à la mobilisation contre l’éco taxe et nous vous tiendrons informés du jour et de l’heure.

Loi de finance, loi de financement de la Sécurité Sociale: ce qui change en 2013

Augmentation du SMIC, du plafond de la sécurité sociale et de certains taux, élargissement de l’assiette de certaines cotisations, durcissement du régime de la faute inexcusable, renforcement des moyens de contrôle des URSSAF, sont au menu de ce début d’année 2013.

Une synthèse de ce qui change : loi de financement sécu 2013b