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compte rendu en images de la journée professionnelle OTRE IDF du 16 avril 2019 à la Mairie de Paris
Journée Professionnelle OTRE IDF du 16 avril 2019 à la Mairie de Paris
Madame, Monsieur, cher adhérent, cher invité,
Nous avons le plaisir de vous convier à votre journée professionnelle annuelle de l’OTRE Ile-de-France qui se tiendra à la Mairie de Paris mardi 16 avril 2019, à l’auditorium de l’Hôtel de Ville de Paris, 5 rue Lobau Paris, de 8h à 14h. Plan d’accès ici et inscription au lien ci-après ou en retournant le bulletin joint
A partir de 8 h : arrivée des adhérents et partenaires, Café d’Accueil,
7h30 – 15h : exposition de véhicules « propres » place Saint Gervais (derrière Hôtel de Ville)
9h – 9h05 Mot d’accueil de Christophe Najdovski, adjoint – Transports, voirie, déplacements et espace public à la Mairie de Paris
9h05 à 10h Réunion statutaire réservée aux adhérents :
Rapport moral et financier et la parole est aux adhérents:
Dumping social, cabotage illégal, paquet routier, infrastructures et leur financement, transition énergétique, LOM, suite des « gilets jaunes », du « grand débat » et moment de débat avec l’OTRE Nationale
10h à 10h15 : élection du nouveau Conseil d’Administration OTRE IDF
10h15 à 10h45 PAUSE dans les Stands,
10h45-12h30 séance publique : table ronde
suivie de la séance de clôture
Table-ronde conférence: 10h45-11h30 comment s’adapter au changement climatique, le véhicule de demain, c’est déjà aujourd’hui ?
Avec Intervention-conférence d’Aurélien Schuller de Carbone 4 , spécialisé en transition énergétique et en adaptation au changement climatique, proche du haut conseil pour le Climat, un théoricien de la «collapsologie».
Avec l’intervention de constructeurs et de « gaziers » et présentation du programme EVE de réduction des émissions de CO2 dans le transport routier
11h30–12h30 : Débat de clôture Mobilité: le transport doit-il être gratuit ? le Transport français a-t-il encore un avenir ?
Qu’il s’agisse du souhait de certains de rendre gratuit les transports collectifs ou qu’il s’agisse de la livraison du dernier kilomètre gratuite avec ses « frais de port offerts », la gratuité n’est-elle pas une fausse bonne idée, n’y a-t-il pas au bout du compte toujours un financeur, et ne pas vendre un service à son juste coût ne contribue-t-il pas au final à dégrader le service lui-même et sa qualité ?
Animée par Natalie GRANGE, rédactrice en chef adjointe du Bulletin des Transports et de la Logistique avec :
Des représentants de l’Etat, élus d’Ile-de- France et de la ville de Paris
1- Valérie Lacroute, députée LR de Seine et Marne
2- Damien Pichereau, député de la Sarthe, spécialiste des questions de concurrence déloyale des VUL et auteur d’un rapport parlementaire sur le sujet
3- Jacques Legaignoux, Directeur régional adjoint Transports à la DRIEA
4- Christophe Najdovski, adjoint – Transports, voirie, déplacements et espace public à la Mairie de Paris
5- Un élu ou représentant du Conseil Régional d’Ile-de-France en charge des questions de mobilité et de transport
et l’expertise technique d’Alexis Giret, directeur du Comité National Routier (CNR) sur les coûts comparés des conducteurs français et des principaux pays européens, ainsi que de celle de Jerome Libeskind, Logicités, expert en logistique urbaine,
12h30 – 12h40 questions réponses et débat avec la salle, proclamation des résultats et clôture du Président.
A partir de 12h40 à 14h
Apéritif déjeunatoire (offert par nos partenaires fournisseurs) dans les stands dans l’espace partenaires
Tombola et tirage au sort des cadeaux dont un week-end pour deux en relai et Château, un stage de conduite sportive sur piste mais en sécurité ainsi qu’un repas gastronomique à gagner et de nombreux autres lots offerts par nos 35 partenaires fournisseurs dont la plupart seront présents et nous accompagneront tout au long de cette journée.
15h à 17h : moment convivial entre adhérents et avec nos partenaires sur la Seine à bord du Paris Etoile qui viendra nous chercher au Pont Marie avec un One Man Show d’Yves Pujol « J’ADORE TOUJOURS MA FEMME » http://www.yvespujol.com/ autour d’un verre et suite de la tombola et lots offerts par nos partenaires fournisseurs.
Nous comptons sur votre participation, inscription obligatoire et sur invitation
Pour le matin et la partie professionnelle inscription ici
Pour l’après-midi et la croisière cabaret: inscription ici
Faut-il réduire la vitesse à 80 Km/h sur les routes nationales ? La question joker qui tue !
Interrogé sur la limitation à 80 km/h, Gérard Collomb « prend un joker » ! cette information a fait le tour des médias la semaine dernière.
Quelle question poser au ministre de l’intérieur quand vous n’avez droit qu’à une seule ou comment en poser 3 en une ? celle de la « Une » d’Otrement Dit et de l’Edito venait tout naturellement.
Vous trouverez in extenso le texte de la question posée au Ministre de l’intérieur à Rungis lors du « tour de France » sur le terrain destiné à dresser un bilan de l’action gouvernementale au bout d’un an, mais aussi et surtout à entendre les questions posées par « la base ».
« Monsieur le Ministre, je vous demande votre avis sur la limitation à 80 km/h sur les routes nationales, vitesse que l’on aimerait attendre plus souvent en Ile-de-France, et sur ses conséquences sur la sécurité routière quand les voitures n’auront plus le droit de doubler les camions sur les nationales, et ne répondez pas qu’il faut baisser la vitesse des Poids Lourds, ce serait une mauvaise réponse, et son corolaire, les contrôles. Avec les radars embarqués à bord de véhicules de sociétés privatisées, il semblerait qu’il y ait un problème de légalité et je vous confirme par ailleurs que l’ANTS fonctionne mal, (permis et cartes grises dématérialisées pour faire suite à une question d’un conducteur venu de l’Oise pour se plaindre du fait qu’il n’avait toujours pas son permis malgré plusieurs mois d’attente) ». et je ne vous parlerai pas de la sécurité à Champigny avec les évènements du week end dernier ».
Le « modérateur », fâché avec les acronymes a botté en touche mais le ministre a bien compris la question. Et quand au verre convivial qui suit souvent ce genre d’évènements, vous vous présentez comme « le Joker » cela facilite le contact et permet la poursuite des débats, comme celui de savoir par exemple si c’est une bonne idée en termes de sécurité et de sureté de confier par appels d’offres les déménagements de nos personnels militaires (et gendarmes) et leur familles à des plateformes d’intermédiation de déménagement par internet, au moment où n’importe quel illuminé fiché S peut se promener avec un couteau de cuisine.
Dans ce genre de réunions publiques (souvent pas si publiques que çà) pour débriefer un an d’action gouvernementale, ne rentre pas forcément qui veut. Une fois laissé nom, date et lieu de naissance lors de l’inscription en ligne, cela permet d’écarter quelques indésirables, fichés ou syndicaliste cheminot et le cas échéant avant les 2 contrôles sur place devant les cordons de CRS.
Cette question du 80 KM/H a fait un peu le buzz dans une assistance globalement acquise, car le refus de répondre du ministre de l’intérieur suffisait à faire comprendre qu’il ne partageait pas pleinement la position du gouvernement. Position d’ailleurs reprise dès le lendemain sur RMC, alimentant la polémique tout le week-end.
Au-delà de la question, avons-nous une part de responsabilité dans ce qu’en ont retenu les médias ?
Il est vrai que nous n’étions pas obligés d’aller ce soir-là Rungis, ni d’y poser une question, ni d’y poser celle-là alors oui, nous avons une petite part de responsabilité dans la question, toujours à l’affut de faire connaitre et reconnaitre notre profession, mais aussi de la défendre.
Toutes ces réunions sont publiques, il suffit juste d’y prendre un peu de temps pour défendre sa cause. Une bonne question au bon endroit à la bonne personne au bon moment est parfois plus efficace que des centaines de camions tournant en rond sur le Périphérique.
Petite revue de presse du « buzz médiatique » sur BFM TV, et diffusion de la vidéo sur Youtube, dans le Figaro, Europe 1, Ouest France, Le Point, sur LCI, dans l’Express, Ouest France, le Parisien, le Point, 20 minutes, le Parisien, France bleu, sur 94.citoyens ou Marianne.net.
Pour plus de contrôles contre la concurrence déloyale dans le transport en Ile-de-France
La concurrence déloyale dans le transport routier de salariés low cost venant d’Europe de l’Est et d’au delà, souvent dans des conditions indignes perturbe et désorganise le marché du transport, détruisant des milliers d’emplois.
Il faut que les contrôles soient renforcés et plus efficaces, notamment chez les donneurs d’ordres afin de faire appliquer la réglementation.
Ces conducteurs doivent être rémunérés dans les même conditions qu’un salarié français quand ils travaillent en France!
Lire et signer la pétition en cliquant ici
politique de la ville de paris: MOBILISATION DES AUTOCARISTES – DURCIR LE TON ! 20 DECEMBRE 2016
L’OTRE et la FNTV ont décidé une action concertée contre la politique de la ville de Paris en matière d’une part de gestion du stationnement des autocars, et d’autre part de sa politique environnementale irréaliste.
Attention : La problématique n’est pas que PARISIENNE ! Toutes les entreprises ayant une activité touristique sur Paris sont visées et la politique de la ville de Paris qui est la 1ère du genre constitue une référence importante pour d’autres agglomérations qui seraient susceptibles de s’en inspirer…
La Profession demande des engagements immédiats, fermes et formels de la ville de Paris, sur :
- Le respect des textes définissant les normes de véhicules à « faibles émissions », incluant les moteurs de norme Euro VI,
- La révision du calendrier fixant les interdictions de circulation des véhicules dont la norme est inférieure, en respectant un échéancier économiquement et technologiquement réaliste au-delà de 2020,
- La remise à plat de la politique du stationnement des autocars sur Paris et l’annulation de la hausse des prix du stationnement au 1er janvier 2017.
Pour contester la politique adoptée, une mobilisation est donc décidée pour le 20 décembre 2016. Elle consistera en une opération escargot depuis au minimum deux points de départ (soit deux cortèges) avec un point de ralliement commun dans Paris. Les modalités de cette mobilisation vous seront transmises ultérieurement dès qu’elles auront été déclarées en Préfecture.
Les appels ou mails reçus depuis la parution des communiqués de presse laissent sous-entendre une forte mobilisation. Votre entreprise doit y contribuer. Merci de nous retourner sans délai votre bulletin d’engagement à participer au mouvement du 20 décembre 2016. Vous serez régulièrement avisés de l’état d’évolution de ce dossier.
NOM DE L’ENTREPRISE :
NOM DU CONTACT :
MAIL : PORTABLE :
NOMBRE DE VEHICULES ENGAGES DANS L’OPERATION DU 20/12 :
Ce bulletin est à retourner : par FAX au 01.53.62.06.56 ou par mail à yann.viguie@otre.org
Contacts :
Jean-Marc RIVERA, secrétaire général national adjoint : 06.30.12.37.37
Yann VIGUIE, secrétaire général Ile de France : 06.20.93.58.15
Référé sur le financement des infrastructures de transport
Référé sur le financement des infrastructures de transport
Le 29 août 2016, la Cour des comptes a rendu public un référé sur l’Agence de financement des infrastructures de transport de France (AFITF), créée en 2004 pour garantir une allocation pluriannuelle des ressources nécessaires à ces investissements Texte du référé et de la réponse du gouvernement
La Cour des comptes préconise un coup de frein pour les grands projets dans les transports. Les magistrats estiment que les financements ne sont pas assurés dans ce secteur et pensent que l’État n’est pas en mesure d’engager de nouveaux projets. Selon les magistrats financiers de la rue Cambon, même en gelant les engagements déjà pris par l’Agence de financement des infrastructures de transport (Afitf), celle-ci sera en déficit d’environ 600 millions d’euros en 2019. Si l’État décide néanmoins de soutenir d’autres projets, en particulier le tunnel ferroviaire Lyon-Turin et le canal Seine-Nord, ce découvert pourra se creuser jusqu’à 4,7 milliards à la même date, calculent-ils. Fin 2015, le total des sommes restant à payer s’élevait à 11,9 milliards d’euros.
La Cour des comptes observe que « le financement pluriannuel des infrastructures de transport ne fait jusqu’à présent l’objet d’aucune programmation » et n’est par conséquent « pas assuré à moyen terme », d’autant plus que le gouvernement a « renoncé » à instaurer l’écotaxe poids lourds fin 2014. Qualifiant l’AFITF de « quasi-coquille vide » et de « caisse de financement » sous tutelle du ministère des Transports, qui l’utilise pour « s’affranchir des principes du droit budgétaire », les magistrats ne demandent pas pour autant la suppression de cet « opérateur de l’État sans feuille de route ni marge de manœuvre », comme ils l’avaient fait en 2009.
Le Premier ministre, Manuel Valls, a au contraire défendu cette agence créée en 2004 et qui « a réussi à s’imposer comme une véritable instance de décision », dans une réponse au référé de la Cour des comptes. Le chef du gouvernement a affirmé que la hausse de 2 centimes de la taxe sur le gazole entrée en vigueur en 2015 « a permis de compenser la suppression des ressources issues de l’écotaxe poids lourds ». L’écotaxe devait financer l’AFITF, mais a été abandonnée par le gouvernement à l’automne 2014. Le Premier ministre a en outre souligné que les sommes restant à payer « ont fortement diminué » depuis 2014 et a relativisé les prévisions de déficit de l’AFITF, qui « méritent d’être fortement nuancées ». D’après Matignon, sur les 11,9 milliards restant à payer fin 2015, « plus de 6 milliards » concernent des projets réalisés en partenariat public-privé qui seront payés « sur des durées supérieures à huit ans ».
Les voies sur berges rive droite bientôt piétonnes
42.000 véhicules par jour empruntent la voie sur berge rive droite. A partir du 21 août, on ne pourra plus jamais circuler rive droite avec sa voiture : la voie sera définitivement fermée aux automobilistes. Un document interne à la mairie de Paris pointe le risque d’une augmentation des embouteillages. Tous les détails sont dans l’arrêt sur info de ce mercredi 8 juin.
REPLAY : http://rmc.bfmtv.com/mediaplayer/video/l-arret-sur-info-les-voies-sur-berges-rive-droite-bientot-pietonnes-830359.html
LA TRIBUNE – 09/06/2016
Paris : comment la piétonisation des voies sur berges va affecter le trafic
Votée en Conseil de Paris en décembre 2015, la mesure entrera en vigueur fin août après l’édition Paris Plages.
Une étude a mesuré l’impact de l’initiative de la maire de Paris Anne Hildalgo de rendre aux piétons les voies sur berges rive droite, sur 3,3 km, de l’entrée du tunnel des Tuileries jusqu’à la sortie du tunnel Henri IV, au cœur de la capitale.
Un impact « sensisble » mais « temporaire ». La piétonisation des voies sur berges, rive droite, qui entrera en vigueur fin août après Paris Plages ne devrait pas gêner sur le long terme la circulation dans la capitale, malgré un report de circulation dans le centre de la capitale, selon une étude d’impact dont l’AFP a eu copie et qui étudie tous les aspects du projet initié par la maire PS de Paris Anne Hidalgo.
Les effets du projet sur la circulation seront « négatifs, forts, directs, temporaires », indique le document de 382 pages, qui a estimé les répercussions qu’aura l’initiative, consistant à rendre aux piétons les voies sur berges rive droite, sur 3,3 km, de l’entrée du tunnel des Tuileries jusqu’à la sortie du tunnel Henri IV, au cœur de la capitale. .
La circulation nettement affectée dans Paris
Selon l’étude d’impact réalisé par modélisation, le trafic se reportera de manière « sensible » intramuros sur quelques points, beaucoup moins sur le périphérique (de +5 à 7%). Dans Paris, il sera principalement reporté sur le quai haut parallèle à la voie fermée et sur le Boulevard Saint-Germain pour les flux sur la rive gauche de la capitale.
L’étude prend pour exemple le temps de parcours par le quai haut entre Concorde et Bastille. Celui-ci subira une augmentation « significative » aux heures de pointe, en passant de 13 à 17 minutes le matin et de 17 à 23 minutes le soir. Un autre type de simulation parle de temps de parcours augmenté de « 8 à 11 minutes ».
Les automobilistes vont changer leurs habitudes
L’étude estime néanmoins que ces embouteillages annoncés ne devraient être que « temporaires », n’allant pas au-delà « des ajustements de départ ». En effet, le comportement des usagers se modifie, « ils changent d’itinéraire ou d’horaire », adoptent d’autres moyens de transport. La piétonisation rive gauche avait eu en 2013 le même type d’effet.
Alors que le groupe « Les Républicains » a dénoncé à de multiples reprises le risque de « thrombose » qu’allait créer l’initiative sur la circulation, l’étude écrit que les « impacts sur la circulation en dehors de Paris sont faibles, devant rassurer en cela les partenaires métropolitains ».
La maire de Paris devait lancer mercredi l’enquête publique qui « donnera aux Parisiens et aux habitations de la métropole l’occasion de s’exprimer ».
LES ECHOS – 09/06/2016
La maire de Paris assume les nuisances attendues de la piétonisation des berges
L’étude d’impact et l’enquête publique lancée ce jeudi ne remettront pas en cause le projet.
Anne Hidalgo met en avant la nécessité d’une ville « respirable ».
C’est avec fermeté que la maire de Paris a lancé, mercredi, l’enquête publique, dernière étape avant la piétonisation des berges de la rive droite, fin août. « Il est hors de question de faiblir, 60 % des Parisiens soutiennent le projet de piétonisation des berges de la rive droite et il n’y a pas une grande ville dans le monde qui ne s’engage pour une amélioration de la santé publique en luttant contre la pollution », a plaidé Anne Hidalgo. L’élue a cité la politique anti-diesel de Tokyo, qui date de vingt ans, ou les mesures draconiennes prises actuellement à Pékin. Pour la maire qui revendique une vision de la ville « respirable », il s’agit d’un moment clef de l’histoire de la ville.
La maire de Paris cherche ainsi à couper court aux contestations croissantes contre ce projet qui porte sur 3,3 km entre l’entrée du tunnel des Tuileries (1er arrondissement) et la sortie du tunnel Henri-IV (4e arrondissement). Anne Hidalgo assume pleinement les conclusions de l’étude d’impact de 382 pages révélée par « Le Monde » et publiée mercredi. Selon ce document, les effets du projet sur la circulation seront « négatifs, forts, directs » mais « temporaires ».
Baisse de la circulation
Christophe Najdovski, l’adjoint aux transports, appuie sur ce dernier point : « Nous allons connaître le même phénomène que pour la fermeture des berges rive gauche. La circulation sur les quais hauts va augmenter pendant au moins un an, puis l’itinéraire perdra de son attractivité et on aboutira à une baisse de la circulation de 20 %. » C’est alors que la mairie entend construire une ligne de transport à haut niveau de service, un tramway ou un bus rapide. Une voie à faible émission sera aussi réservée aux véhicules peu polluants. Pour Jean-Louis Missika, adjoint à l’urbanisme, les aménagements parisiens des années 1960 et 1970 au seul profit de la voiture sont « totalement dépassés ».
Les arguments sont loin de convaincre le Medef Paris, qui a rappelé mercredi ses fortes réticences, jugeant que la mairie n’a pas prévu d’alternative crédible pour la mobilité des clients, salariés et fournisseurs des entreprises. Il dénonce aussi une enquête publique lancée quelques semaines seulement avant le projet, demandant une étude indépendante et donc un report d’un an du projet. Le groupe Les Républicains au Conseil de Paris juge, de son côté, que la mairie va créer plus de pollution en générant des embouteillages sur les quais.
Selon le calendrier de la mairie, le rapport de l’enquête publique sera rendu fin juillet, puis un arrêté sera pris par le préfet en août pour valider la non-réouverture des berges à la fin de l’opération estivale Paris Plages. La déclaration de projet définitive, qui autorisera le lancement des aménagements légers sur les berges, sera votée en Conseil de Paris en septembre.
Participation à la mobilisation du samedi 9 avril 2016 : CONCURRENCE DELOYALE = FAILLITE = CHOMAGE !
Mesdames Messieurs
L’OTRE Ile de France, avec l’ensemble des OTRE des autres régions se mobilise contre la concurrence déloyale, et notamment celle des pays de l’Est le 9 avril 2016
Nous voulons défendre nos entreprises et défendre l’emploi en France !
Venez nombreux nous rejoindre et invitez largement vos confrères à nous rejoindre. Les modalités détaillées de notre action seront diffusées à partir de mardi 29 mars.
Pour nous confirmer votre présence, 3 possibilités :
– en répondant à ce mail à yann.viguie@otre.org
– en nous faxant le questionnaire ci-joint au : 01 53 62 06 56
– en vous inscrivant sur Internet sur le site www.otre-idf.com
Ensemble nous pouvons faire bouger les choses !
Vous pouvez suivre l’organisation de ces manifestations sur notre page Facebook ou sur Twitter
Nom de l’entreprise :_______________________________________
Nom de l’interlocuteur :_____________________________________
N° de portable :____________________________________________
Adresse mail :_____________________________________________
Est prêt à participer à une manifestation contre la concurrence
déloyale et le dumping social dans les transports :
OUI O NON O Je suis prêt à mettre _________ véhicules:
Coordonnées de votre contact OTRE en Ile de France :
Mr Yann VIGUIE 06 20 93 58 15 – 01 53 62 83 40
Le lieu précis du ou des rendez-vous vous sera communiqué début avril en fonction du nombre d’inscriptions
Si vous êtes hors Ile de France, nous nous chargerons de retransmettre votre réponse aux organisateurs de votre région qui prendront attache avec vous
Interdictions de circuler pour 2015
Le Journal Officiel du 27 décembre a publié un arrêté du 19 décembre 2014 relatif aux interdictions complémentaires de circulation des véhicules de transport de marchandises pour 2015.
Cet arrêté, publié dans les mêmes modalités une fois par an, donne la liste des week-ends où la circulation des poids lourds de plus de 7.5 tonnes est interdite une grande partie du samedi :
– En période hivernale, sur les grands axes de la région Rhône-Alpes (voir le détail dans l’annexe de l’arrêté), entre 7 et 18 heures. La circulation est autorisée de 18 à 22 heures.
Pour 2015, les 5 samedis concernés sont ceux des 7 février, 14 février, 21 février, 28 février et 7 mars.
– En période estivale, sur l’ensemble du réseau national, entre 7 et 19 heures. La circulation est autorisée de 19 à 24 heures ces samedis là.
Pour 2015, les 5 samedis concernés sont ceux des 11 juillet, 25 juillet, 1er août, 8 août et 22 août.
Référence du texte : http://www.legifrance.gouv.fr/eli/arrete/2014/12/19/DEVT1428300A/jo/texte