Nostalgie déménagement

Quelques images de déménagements glanées sur le net et notamment de 2 célèbres porteurs de piano :livreur de piano

les livreurs de piano http://www.youtube.com/watch?v=QDNEQJ3MOno

le déménagement de Mickey http://www.youtube.com/watch?v=KaXHAQiEvH8

mais également 10 trucs pour bien rater son déménagement http://www.youtube.com/watch?v=sbIC3b98Sp8

Lutte contre l’absentéisme

Après l’étude « lourde » de la DARES en 2013 http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2013-009.pdf une enquête 2013 est publiée et celle de 2014 est en cours, vous pouvez y participer. http://www.indicerh.net/content/1763-livre-blanc-sur-enquete-2013-du-referentiel-de-absent%C3%A9isme%C2%AE.html

Une entreprise sur 5 ignore son taux d’absentéisme ! Sur plus de 250 entreprises et organisations interrogées (de la TPE à l’ETI), cette méconnaissance qui décroît avec la taille de l’entreprise. Les entreprises connaissant le plus fort d’absentéisme sont celles de 250 à 500 salariés. Près de la moitié d’entre elles (48%) connaissent un taux supérieur ou égal à 6 %, taux considéré comme fortement préjudiciable à une organisation. Les TPE et les grands groupes ont en général, un taux plus bas que la moyenne. Pour 57% des entreprises, aucune mesure pour réduire ce taux n’a été prise. Ce chiffre diminue et passe à 40% pour les entreprises de plus de 500 salariés.
Principales mesures pour lutter contre l’absentéisme Dans 75% des cas, les mesures prises par les entreprises pour lutter contre ce phénomène sont du type « motivation/récompense ». Parmi ces actions, on retrouve l’intéressement lié à l’absentéisme dans 26% des cas, la prime de présentéisme pour 14 % des entreprises ou encore l’amélioration des conditions de travail pour 19% des répondants. La formation au management et l’appel à un ergonome sont également des mesures incitatives pour réduire l’absentéisme.
Quelle communication autour de l’absentéisme ? La communication semble encore très cloisonnée concernant ce genre de données « sensibles ». Dans 63 % des cas, les données de l’absentéisme ne sont communiquées qu’au PDG et Directions Générales. Fait marquant, seuls 7% des DRH informent les autres directions, type directions financières. L’intégralité de l’enquête 2013 est à retrouver sur le site de l’association Référentiel de l’Absentéisme. Vous pouvez également participer à l’enquête 2014 sur le même site.

Burn Out

Sujet abordé plusieurs fois ici et notamment http://viguiesm.fr/burn-out-a-nouveau-a-la-une-de-lactualite-3-millions-de-francais-seraient-touches/ un nouveau dossier complet dans courrier cadre sur ce qui peut constituer le nouveau mal du 21ème siècle: comment l’identifier, prévenir et guérir http://www.cadremploi.fr/editorial/conseils/conseils-carriere/detail/article/burn-out-identifier-prevenir-guerir.html#xtor=EPR-235

et faut-il reconnaître le burn out en maladie professionnelle ?

http://www.huffingtonpost.fr/philippe-zawieja/maladie-burn-out_b_4829493.htmlimagescnam

http://www.latribune.fr/blogs/mieux-dans-mon-job/20140206trib000813984/le-burn-out-maladie-professionnelle-ou-pas.html

et pourquoi il faut arrêter de déprimer http://www.latribune.fr/blogs/mieux-dans-mon-job/20140128trib000812314/pourquoi-les-francais-doivent-arreter-de-deprimer.html

et aussi sur les troubles psy en entreprise http://www.capital.fr/carriere-management/dossiers/troubles-psy-en-entreprise-le-grand-tabou-francais-894726#xtor=EPR-226

alors n’hésitez pas à signaler les situations à risques !

http://business.lesechos.fr/directions-ressources-humaines/bien-etre-au-travail/burn-out-alerter-et-signaler-les-situations-a-risque-60480.php

Ecotaxe (toujours)

Quelques actualité de la semaine: un pas en avant, un pas en arrière, vers une régionalisation? Et un Medef breton qui se fâche…. Tout d’abord un courrier du GEPR que nous ne pouvons pas renier…. http://www.gepr.fr/wp-content/uploads/2014/02/4005-Ministère_transports.pdf

mais aussi : http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/portiques-ecotaxe-demons-1485051798104_740461075987512_1353037699_n

http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=33045&title=Le%20bras-de-fer%20sur%20l’%C3%A9cotaxe%20entre%20l’Etat%20et%20les%20acteurs%20%C3%A9conomiques%20de%20Bretagne%20continue

et certains députés proposent de « régionaliser » l’écotaxe http://www.wk-transport-logistique.fr/actualites/detail/73450/olivier-faure-ps-je-suggere-de-regionaliser-l-ecotaxepoids-lourd.html

et le Medef se fâche en menaçant de boycotter le pacte d’avenir si l’écotaxe n’est pas reportée sine die http://www.entreprises.ouest-france.fr/article/medef-breton-ce-sera-pacte-davenir-lecotaxe-27-02-2014-134436?utm_source=rss&utm_medium=ofentreprise&utm_campaign=rss_info_toute

Et une Chambre du Déménagement qui sera auditionnée fin mars par la mission parlementaire http://www.csdemenagement.fr/actualites/1353-la-csd-auditionnee-fin-mars-par-la-mission-parlementaire-ecotaxe.html et qui prend désormais assez clairement position contre l’écotaxe en écrivant.  « Le ras le bol fiscal est donc puissant dans ce secteur composé à plus de 69 % de TPE et 98 % de PME. Aussi il est évident que toute taxe, toute charge supplémentaire, devient insupportable pour les entreprises du déménagement et met en péril un équilibre économique déjà fragilisé par la conjoncture ».

Si écotaxe il devait y avoir, elle continue à prôner la répercussion sur l’ensemble du prix de déménagement et non sur le seul prix de transport, ce qui aurait pour effet d’éviter une usine à gaz (comment différencier dans le prix de traction la main d’œuvre liée à la conduite et celle liée à l’accompagnement (double équipage) ? Nous voyons mal en revanche comment les pouvoirs publics pourraient accepter qu’une profession gagne de l’argent sur la collecte d’un impôt, et répercute une taxe liée à l’usage des routes, sur la partie main d’œuvre à domicile, qui souvent en local notamment peut représenter plus de la moitié de la facture. En plus, le VUL et le travailleur illégal continueront de ne rien répercuter et nous rirons au nez avec notre écotaxe !Discount20130703_215111

nominations, mouvements

Hervé Lefifve, qui a travaillé à la mairie de Paris sur le dossier du stationnement (et notamment de celui de la réservation d’emplacement en déménagement, quitte l’APUR, l’agence public d’aménagement de l’urbanisme qui a travaillé sur les mêmes dossiers sur la charte livraison à Paris.

Il rejoint SOGARIS comme responsable des études et du développement au sein de la direction immobilière, où il rejoindra Christophe Ripert, précédemment également à la Mairie de Paris et bien connu des transporteurs et déménageurs pour avoir dans les années 2000 participé aux travaux visant à limiter le stationnement des véhicules de livraison à Paris, notamment en contribuant à la mise en œuvre des voies de bus « en site propre ».

Sa future adresse mail est hlevifve@sogaris.fr

Ne sous-estimez pas le coût de reprise d’une entreprise en difficulté

Ne sous-estimez pas les capitaux nécessaires à la reprise. Prudence donc si vous reprenez une entreprise en difficulté ! Ce type d’opération requiert toujours d’avantage de capitaux que ceux prévus initialement. En effet, la situation est généralement plus grave que celle révélée par le diagnostic. Soyez-en conscient ! http://www.apce.com/pid623/les-entreprises-en-difficulte.html?espace=2

Vers une simplification de la TVA à l’import ?

L’AUTF (Association des utilisateurs de transport de fret) qui représente les chargeurs applaudit à la décision annoncée par le président de la République lors du conseil stratégique de l’attractivité du 17 février de simplifier le régime de la TVA des importations.

Cette procédure simple et accessible tant aux entreprises nationales quelle que soit leur taille qu’aux étrangers non-résidents permettra de supprimer le handicap qui pesait sur les acteurs économiques français qui doivent actuellement supporter la charge financière du décaissement effectif de la TVA qui doit être acquittée à la douane lors de l’importation des marchandises ainsi que sur les ports  nationaux qui voyaient des trafics importants à destination de la France détournés sur les ports du nord de l’Europe, avec un dispositif administratif trop complexe notamment pour les petites entreprises nationales et pour les sociétés étrangères http://www.autf.fr/web/actualite-tva_a_l_importation__une_simplification_au_service_de_l_attractivite_de_notre_territoire-181.html mais aussi http://www.wk-transport-logistique.fr/actualites/detail/73449/attractivite-de-la-france-francois-hollande-annonce-des-simplifications-douanieres-.html

Un salarié peut-il cumuler deux emplois ?

Si vous n’avez rien prévu au contrat, un salarié à plein temps a le droit (en principe) de cumuler plusieurs emplois dans la limite des durées maximales de travail. Soit 48 h par semaine, 10 h par jour et repecter un repos quotidien minimum de 11h.

Ainsi, un salarié peut être chez vous à 35h (ou même 39 h) par semaine, et cumuler avec un temps partiel (faire des marchés, travailler dans le commerce, etc…) dans la limite de 48 h par semaine.

Mais vous pouvez limiter ce droit, avec tout d’abord:

la clause de loyauté, de fidélité, de discrétion voir d’exclusivité en lui interdisant d’exercer une activité concurrente (par exemple déménageur pour son propre compte)

vous pouvez aussi prévoir une clause d’exclusivité, ou l’obligation de vous informer de tout nouvel emploi même à temps très partiel, surtout s’il a une activité physique (déménageur) qui nécessite de vraies récupérations. Souvent on met dans les contrats des clauses comme:« Le salarié déclare n’être formellement lié à aucune autre entreprise et avoir quitté son précédent emploi libre de tout engagement et en conformité avec la législation et les règlements relatifs à l’emploi et à la main d’œuvre »

Par exemple, avant, certains fonctionnaires, pompiers, gendarmes pouvaient cumuler 2 emplois, çà leur est maintenant interdit!pl

Par ailleurs, autant pour un temps partiel vous ne pouvez empêcher un salarié de cumuler plusieurs emplois dans la limite d’un temps plein, autant pour un salarié à temps plein, s’il limite 2 emplois (l’un de jour et l’autre de nuit) et que vous en aviez connaissance et que se produit un accident grave, votre responsabilité pénale pourrait être engagée pour complicité. Il y a eu des précédents, dans l’intérim notamment.

pour en savoir plus: http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F1945.xhtml

L’employeur doit-il rembourser les frais de transport en cas d’absence du salarié ?

Si vous remboursez des frais (quels qu’ils soient, y compris carte orange) à un salarié dont le contrat de travail est suspendu (ou pendant ses congés), ce remboursement n’est plus versé conformément à son objet, et susceptible de devenir un avantage en nature, soumis à cotisations sociales.

Lorsque le salarié est en congé (congé maladie par exemple), la prise en charge de ses frais de trajet se trouve en principe suspendue. Mais cette suspension du remboursement ne débute qu’à compter de la fin du mois pendant lequel débute le congé. Le remboursement de la carte orange se fait au prorata du temps de travail et a condition, bien sur, de justifier de l’achat de la carte orange.Le remboursement des frais de transport en cas suspension du contrat de travail du salarié n’est pas abordée par le Code du travail. Seule une circulaire du ministère des transports l’évoque (circulaire du 24 décembre 1982, JO du 20 mai 1983,), une simple circulaire n’étant pas opposable aux entreprises. Celle-ci précise qu’en cas d’absence du salarié, la prise en charge s’effectue normalement sans abattement, pour les jours non travaillés, dès lors que le titre de transport a été utilisé au moins une fois pour le trajet domicile-lieu de travail. Cela signifie que si, en cas d’abonnement mensuel, le titre de transport n’a pas été utilisé au cours d’un mois, il n’y a pas de prise en charge.

Pour en savoir plus: voir http://www.juritravail.com/chiffres-et-indices/tarifs-carte-navigo.html et http://lentreprise.lexpress.fr/remuneration/frais-de-transport-le-remboursement-doit-il-etre-maintenu-en-cas-d-absence-du-salarie_41955.html

Compte pénibilité, du nouveau :

La loi du n°2010-1330 du 09/11/10 portant réforme des retraites avait institué les articles L.138-29 et suivants du code de la sécurité sociale, lesquels toujours en vigueur, imposent une pénalité aux entreprises d’au moins 50 salariés ou appartenant à un groupe d’au moins 50 salariés employant au moins 50% de salariés exposés à des facteurs de risques, lorsqu’elles ne sont pas couvertes par un accord ou un plan d’action relatif à la prévention de la pénibilité. L’article 13 de la loi n°2014-40 du 20/01/14 modifie, à compter du 01/01/15, la source et le périmètre de cette obligation, et donne priorité à la négociation sur le plan d’action :
1. Concernant la source : les articles L.138-28 à L.138-31 du code de la sécurité sociale seront remplacés par les nouveaux articles L.4163-2 à L.4163-4 du code du travail,
2. Concernant le périmètre : seront pris en compte les salariés exposés à des facteurs de risques au-delà de seuils d’exposition à définir par décret. Ajoutons que l’article 10 de cette loi crée à compter du 01/01/15 pour ces salariés exposés, le « compte personnel de prévention de la pénibilité » dont le fonctionnement sera précisé par décrets,
3. Concernant la priorité : la couverture par un plan d’action ne sera possible qu’en cas d’échec effectif de la négociation attesté par procès-verbal de désaccord dans les entreprises pourvues de délégués syndicaux. http://www.retraite.com/fr/compte-penibilite-effectif-1er-janvier-2015