Des salariés peuvent il être licenciés pour perte de permis de conduire ?

Des salariés peuvent il être licenciés pour perte de permis de conduire ?

Dans le transport, il convient de se référer (et d’appliquer) le protocole permis à point de 1993 prévu dans la convention collective, qui prévoit (suite aux grandes grêves de 1992), entretien de concertation, reclassement, suspension du contrat, et au final et à défaut licenciement. Pour en savoir plus, contactez nous.

Mais que se passe quand la suspension voir le retrait de permis est finalement invalidée par la justice ? Une jurisprudence récente vient éclairer le lecteur, et pas forcément dans un sens favorable à l’employeur…

En l’espèce, le contrat de travail d’un ingénieur commercial prévoyait qu’il était amené à effectuer des déplacements professionnels, et que pour l’exécution de son activité ainsi que pour ses besoins personnels, une voiture de service était mise à sa disposition. À la suite de la perte totale de ses points, son permis de conduire lui avait été retiré pour six mois. Estimant ne pouvoir continuer à employer un commercial qui ne pouvait plus se déplacer chez ses clients ni venir de son domicile à son lieu de travail, la société a procédé à son licenciement.

Or, onze mois plus tard, un jugement du tribunal administratif annule la décision administrative de retrait du permis. L’intéressé saisit alors la juridiction prud’homale aux fins de faire déclarer son licenciement sans cause réelle et sérieuse. Il obtient gain de cause devant la cour d’appel qui retient que cette annulation étant par nature rétroactive, le retrait de permis est donc censé n’avoir jamais eu lieu, l’annulation rendant dès lors le licenciement sans cause réelle et sérieuse. L’employeur tente de faire annuler cette décision, mais en vain.

Pour la Cour de cassation : « En vertu du principe de séparation des pouvoirs garanti par l’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, la règle selon laquelle l’annulation d’une décision administrative a un effet rétroactif ne peut être remise en cause par le juge judiciaire».

Comme vient de le rappeler la Cour de cassation, l’effet rétroactif attaché à la décision administrative s’impose au juge judiciaire. Le résultat est néanmoins surprenant dans la mesure où l’arrêt condamne au final l’employeur qui avait notifié un licenciement fondé au moment des faits…http://www.widoobiz.com/actualites/licenciement-pour-perte-du-permis-de-conduire/34701?

La libéralisation du cabotage n’est plus pour demain

Et tout le monde s’en félicite 110_F_34226350_EeCElMJmWxCZ3t7OS0GMljHfmrNyBnAF

Le commissaire européen aux transports, Siim Kallas, annonce que la libéralisation du cabotage routier en Europe ne sera pas pour 2014. Il a déclaré vouloir maintenir les conditions de cabotage déjà existantes. Kallas a estimé par ailleurs que la libéralisation du cabotage pouvait entraîner un risque d’abus par certains transporteurs et une baisse des normes sociales dans le transport. Du coup, la réglementation française ne change pas. La France autorise au maximum trois opérations de cabotage successives dans le cadre d’un transport international à destination de la France, et dans un délai de sept jours. En revanche, une seule opération de cabotage est autorisée si le transport international de départ n’est pas destiné à la France. Le projet était de lever toutes ces restrictions.

Voir notamment : http://www.fntr.fr/lactualite/actualites/le-cabotage-ne-sera-pas-liberalise?field_domaine_tid=All&field_expertise_tid=All et http://www.wk-transport-logistique.fr/actualites/detail/65690/la-liberalisation-du-cabotage-n-interviendra-pas-en-2014.html

Du 28 au 30 mai, LE salon de la prévention des risques

Du 28 au 30 mai, LE salon de la prévention des risques professionnels: Preventica à Lille http://www.preventica.com/congres-salon-sante-securite-travail.php

Santé, sécurité, qualité de vie au travail : leviers d’innovation pour la Gestion des RH et le Management (AINF)
Souffrance au travail : état des lieux (CFE-CGC)
– Comment objectiver la
pénibilité pour construire une démarche de prévention ? Exemple en restauration collective (HANDIEXPERH)
– Améliorer la vigilance et la sécurité au travail grâce à l’optimisation du
rythme veille-sommeil
(DBVM / MYSOMMEIL)
– Si le
harcèlement m’était « compté » : coûts pour l’entreprise, coups pour les salariés (TOIT DE SOI – RPS)
– Les
risques psychosociaux : un sujet délicat dédramatisé par La CRETE
– Management de l’
Absentéisme (GROUPE PREVIA)
– Aider les petites entreprises à évaluer et prévenir les
RPS (DIRECTION GENERALE DU TRAVAIL)

programme complet: http://www.preventica.com/preventica-lille-2013-conferences.php

Et pour tout savoir sur le burn out http://www.huffingtonpost.fr/2013/05/15/12-conseils-pour-lutter-contre-le-burn-out_n_3273897.html?

Mais aussi sur notre blog http://viguiesm.fr/burn-out/

http://viguiesm.fr/quest-ce-que-le-burn-out/ ou http://viguiesm.fr/les-3-phases-dun-burnout/

financement participatif ou crowdfunding

J’ai déjà mentionné ici le financement participatif comme une source interessante d’effet de levier financier pour les « jeunes pousses », entreprises récemment crées qui ne disposent pas du potentiel pour intéresser les « business angels ». Quelques articles récents sur le sujet.

http://lentreprise.lexpress.fr/levee-de-fonds/crowdfunding-le-don-une-valeur-en-hausse_40729.html?

http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20130408trib000758212/financement-non-le-crowdfunding-n-est-pas-un-gadget.html

http://lecercle.lesechos.fr/entrepreneur/creation-dentreprise/221166389/crowdfunding-fleur-pellerin-doit-entreprendre-favoriser

http://www.linkedin.com/groups/crowdfunding-emport%C3%A9-foule-1416777.S.217191603?

http://www.usinenouvelle.com/article/le-financement-participatif-s-organise.N193318?

Franchisé avec un camion rouge

NDJe vous racontai il y a quelques semaines http://viguiesm.fr/salon-jobtransport-et-le-front-de-lemploi/ le salon de l’emploi dans les transports. Parmi les employeurs rencontrés, celui qui propose des postes de conducteurs franchisés indépendants avec des beaux camions rouges a retenu particulièrement mon attention. Une bien belle plaquette en tout cas. Et demain, vous souhaitez franchiser votre nom ou votre marque commerciale ? Contactez nous, je sais qui pourra vous y aider.

Prévention des risques professionnels sur la route

Il y a encore du travail à faire en matière de prévention des risques professionnels face aux danger de la route qui détériorent de plus l’image d’une profession. Vidéo déjà ancienne, mais marquante en termes de prévention routière et de sécurité au volant, peut mieux faire, heureusement, la route n’a pas l’air française (le chauffeur et la musique non plus), mais quand même… http://www.dailymotion.com/video/x8mrco_chauffeur-roumain-danse-volant-cami_fun

et toujours plus de photos et de vidéo sur notre page facebook http://www.facebook.com/#!/ViguieSocialMobilite/page_insights_talking

alors, si vous aimez, dites le !!!

Contrat de génération

1. Principe

Le contrat de génération est un dispositif d’aide à l’emploi visant à créer des binômes jeune-senior pour encourager l’embauche des jeunes et garantir le maintien dans l’emploi des seniors, tout en assurant la transmission des compétences. Ce dispositif prévoit une aide financière pour toute embauche à partir de 2013 effectuée par les PME sous certaines conditions.

A noter que l’accord déménagement de prévention de la pénibilité signé en 2010 prévoyait déjà un mécanisme d’association de « binôme junior senior » qui bénéficie aujourd’hui d’accompagnemnt financier.

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Entreprises concernées

Cette aide est ouverte pour une durée de 3 ans :

  • de plein droit aux entreprises de moins de 50 salariés (ou appartenant à un groupe de moins de 50 salariés),
  • après conclusion d’un accord collectif pour les entreprises employant entre 50 et 300 salariés.

Les entreprises de plus de 300 salariés (ou appartenant à un groupe de plus de 300 salariés) sont exclues du dispositif d’aide.

L’effectif doit être calculé sur l’ensemble des établissements au 31 décembre, représentant la moyenne des effectifs mensuels (nombre de salariés titulaires d’un contrat de travail le dernier jour de chaque mois, y compris les salariés absents). Pour une entreprise nouvellement créée, l’effectif est apprécié à la date de sa création.

Pour obtenir la subvention, l’entreprise ne doit pas procéder à :

  • un licenciement économique (ou un licenciement pour un motif autre qu’une faute grave ou lourde ou une inaptitude physique) sur le poste ou la catégorie professionnelle, dans les 6 mois précédents,
  • un licenciement de salariés de plus de 57 ans (ou 55 ans pour les travailleurs handicapés) pendant le versement de l’aide.

Attention : même si les entreprises de plus de 300 salariés ne peuvent bénéficier de l’aide, elles sont toutefois soumises à l’obligation de conclure un accord collectif d’entreprise (ou de groupe) ou, à défaut, élaborer un plan d’action en faveur de l’emploi des jeunes et des seniors.

2. Salariés concernés

Le contrat génération est constitué d’un binôme entre :

  • un jeune âgé de moins de 26 ans (ou moins de 30 ans s’il s’agit d’un travailleur handicapé),
  • un senior d’au moins 57 ans (ou au moins 55 ans, s’il est reconnu travailleur handicapé) en CDI pendant la durée de l’aide ou jusqu’au départ en retraite.

Le jeune salarié doit être embauché en CDI et à temps plein.

Le temps partiel est autorisé avec son accord, si la durée hebdomadaire du travail n’est pas inférieure aux 4/5es de la durée hebdomadaire du travail à temps plein.

Par dérogation, il n’y a pas de condition d’âge pour le jeune, s’il est embauché en CDI à la suite d’un CDD, d’un contrat d’apprentissage ou de professionnalisation conclu avec l’entreprise avant ses 26 ans (ou avant 30 ans pour un travailleur handicapé).

Accord collectif

L’accord collectif (ou le plan d’action), valable 3 ans, doit comporter des mesures (et des objectifs chiffrés) en faveur :

  • de l’insertion durable des jeunes dans l’emploi (modalité d’intégration, de formation, de l’entretien de suivi, la désignation d’un référent, etc.),
  • de l’emploi des salariés âgés (amélioration des conditions de travail, prévention de la pénibilité, coopération intergénérationnelle, formation, etc.),
  • de la transmission des savoirs et des compétences (binôme d’échange, diversité des âges dans les équipes de travail).

L’accord collectif (ou le plan d’action) est précédé d’un diagnostic, qui porte notamment sur la pyramide des âges, les caractéristiques et l’évolution dans l’entreprise des jeunes et des salariés âgés, les départs à la retraite prévus. Il doit être transmis à la Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi (Direccte).

L’accord collectif est soumis à l’accord du comité d’entreprise (ou des délégués du personnel).

Il doit ensuite être déposé auprès de la Direccte, accompagné notamment du diagnostic et d’une fiche descriptive, en plus des documents habituellement demandés pour tout dépôt d’accord d’entreprise.

Le délai de réponse est de :

  • 3 semaines pour un accord collectif et de 6 semaines pour un plan d’action.

L’absence de réponse vaut validation de l’accord.

En l’absence d’accord ou de plan d’action déposé auprès de la Direccte avant le 30 septembre 2013, les entreprises sont soumises à une pénalité.

Fixée par la Direccte en fonction des efforts de l’entreprise, elle ne peut pas dépasser :

  • 1 % de la masse salariale au cours des périodes pendant lesquelles l’entreprise n’est pas couverte par un accord ou plan d’action conforme,
  • ou 10 % des exonérations de cotisation dans le cas d’un montant supérieur.

Chaque année, l’entreprise est tenue de réaliser un document d’évaluation sur la mise en œuvre de l’accord collectif (actualisation des données chiffrés, suivi des indicateurs, etc.). À défaut, l’entreprise dispose d’un mois pour le transmettre.

Dans le cas contraire, elle encourt une pénalité de 1 500 € par mois de retard.

À savoir : l’accord peut être négocié au niveau de l’entreprise ou du groupe, mais un accord de branche ne suffit pas.

3. Montant de l’aide

Le contrat de génération prévoit une aide financière annuelle de 4 000 €, versée par Pôle emploi à l’employeur, pendant une durée maximale de 3 ans :

  • un premier versement de 2 000 € par an pour l’embauche en CDI d’un jeune bénéficiaire du contrat de génération,
  • un second versement de 2 000 € par an pour le maintien dans l’emploi d’un senior de 55 ou 57 ans ou plus pour encadrer le jeune.

Le montant de l’aide peut être proratisé :

  • quand le contrat de travail n’est pas à temps plein,
  • en cas d’embauche ou de départ du jeune ou du salarié âgé ou du chef d’entreprise en cours de trimestre.

La durée maximale de l’aide est de 3 ans. Elle est versée tous les trimestres. Pour en bénéficier, l’entreprise doit être à jour de ses obligations déclaratives et paiement de ses cotisations sociales.

À noter : il n’y a pas d’exonération de cotisations sociales spécifique liée au contrat de génération.

4. Comment obtenir l’aide ?

L’employeur doit adresser, dans les 3 mois suivant le premier jour d’exécution du contrat de travail du jeune, une demande d’aide contrat génération à Pôle emploi.

Si l’embauche a eu lieu entre le 1er janvier et le 1er mars 2013 dans une entreprise de moins de 50 salariés, la demande peut être envoyée jusqu’au 16 juin 2013.

Dans les entreprises de 50 à 300 salariés, la demande d’aide ne doit être envoyée qu’à partir de la réception de la décision de conformité portant sur l’accord ou le plan d’action rendue par la Direccte (ou en cas d’accord de branche étendu, à compter de la transmission du diagnostic de l’entreprise à la Direccte).

Remplissez la demande grâce au formulaire disponible sur le site www.contrat-generation.gouv.fr
Retourner la demande datée et signée à l’adresse suivante :

Pôle emploi services TSA 80 114 92 891 Nanterre CEDEX 9

Ensuite, chaque trimestre, l’employeur est tenu de transmettre à Pôle emploi une déclaration d’actualisation permettant le calcul et le versement de l’aide, dans le mois suivant le trimestre concerné (par exemple, en avril pour la période janvier-mars).

À défaut, l’aide n’est pas due pour le trimestre concerné.

 

5. Interruption de l’aide

L’aide est totalement interrompue en cas de :

  • rupture du CDI du jeune salarié,
  • baisse de la durée hebdomadaire de travail du jeune salarié sous les 4/5e de la durée collective de travail de l’entreprise,
  • rupture du contrat de travail du salarié âgé dans les 6 mois suivant le début de contrat du jeune,
  • rupture du contrat de travail du salarié âgé après 6 mois (pour une cause autre que la faute grave ou lourde, l’inaptitude ou la rupture conventionnelle).

En cas de rupture du contrat de travail du salarié âgé dans les 6 mois suivant le début du contrat du jeune pour départ en retraite, licenciement pour faute grave ou lourde, inaptitude physique, ou décès, l’aide est maintenue pour le trimestre quand ce salarié est remplacé par un autre salarié remplissant les mêmes conditions d’âge, dans les 3 mois suivant la rupture du contrat de travail.

Pour en savoir plus :http://vosdroits.service-public.fr/professionnels-entreprises/F31262.xhtml

http://travail-emploi.gouv.fr/contrat-de-generation,2232/

http://www.pole-emploi.fr/candidat/le-contrat-de-generation–@/suarticle.jspz?id=96930

Viguié Social Mobilité sur Facebook

Cela permet au rédacteur du blog d’être beaucoup plus réactif, même en déplacement de vous donner toute information, photo ou dessin de l’actualité sociale et de la mobilité, et vous donne la possibilité de  vous manifester en temps réel, vos avis, vos humeurs, de « liker » ou non, 0_0_0_0_90_84_csupload_55412463_largeen français d’aimer ce que je fais et que nous faisons. Et je dois dire aux « fans » qui aimeront (ne mettons pas la barre trop haut) qu’il y aura un petit cadeau pour le 100ème like sur la page Facebook. Nous en sommes déjà à 25, A très bientôt sur FB http://www.facebook.com/#!/ViguieSocialMobilite

Jours fériés et ponts :

Le mois de mai, avec ses traditionnels ponts et jours fériés. Travaillés ou non travaillés, lesquels doivent être payés ou non et à quel taux (en fonction de l’ancienneté)

Une bonne fiche de synthèse sur le site du ministère du travail, sachant par ailleurs qu’il vous appartient également de vous référer à la convention collective pour les 5 jours fériés (sur 11) déterminés par elle, mais aussi sur les taux de rémunération qui se trouvent en bas des barèmes conventionnels de salaires.

http://travail-emploi.gouv.fr/informations-pratiques,89/fiches-pratiques,91/conges-et-absences-du-salarie,114/les-jours-feries-et-les-ponts,7747.html

Pour en savoir plus, nous consulter, ou voir: http://www.pratique.fr/jours-feries-ponts.html

et où l’on parle des déménageurs (qui râlent): http://blogs.lesechos.fr/dominique-seux/qu-y-a-t-il-sous-les-jolis-ponts-de-mai-a12903.html

et pour la journée solidarité ? Ce n’est plus le lundi de pentecôte depuis quelques années, ce jour étant redevenu férié, mais le principe de cette journée existe toujours.http://travail-emploi.gouv.fr/informations-pratiques,89/fiches-pratiques,91/duree-du-travail,129/la-journee-de-solidarite,1021.html#sommaire_1.

Et pour Viguié Social Mobilité ? Nous resterons joignables et connectés (comme de nombreux autres jours fériés), c’est notre solidarité à nous. A très bientôt donc 960856_10151620620939887_420023174_n. En tout cas, à la SNCF c’est un jour comme un dimanche!!!

http://www.widoobiz.com/actualites/infographie-les-jours-off-des-entrepreneurs/34343?

Le déménagement sur RMC

Samedi 11 mai matin est passé une émission consacrée au déménagement sur RMC dans maisonbrico à 10h avec Christian Pessay.

Si vous l’avez manqué, vous pouvez la réécouter en « podcast » pendant quelques jours au lien en bas de l’article et vous entendrez un représentant (futur président?) de la Chambre Syndicale du déménagement, mais aussi pour les plus anciens qui ont connu, l’ancien secrétaire général M. Canioni reconverti pour la circonstance en secrétaire général de l’association des déménageurs internationaux AFDI. Occasion également d’entendre deux représentants de concepts  innovants, http://www.demenagerseul.com/ et http://www.desbrasenplus.com/ . Ces concepts de déménagement participatifs visent en effet non pas à toucher les 20% de déménagés qui passent par un pro, mais les 80% du marché de la mobilité qui ne fait pas appel à des professionnels. Concepts innovants inspirés de l’ancien « tandem » pour ceux qui ont connu, et donc suivi de près par votre serviteur.

En effet, cet « avant marché » fera demain appel au marché, et doit donc également être bien servi et dans les règles de l’art, car il sera le marché de demain.

Petite passe d’armes intéressante sur les 20 M3, les surcharges des VUL, et sur tout l’intéret de passer par un « pro » qui aura été rigoureusement selectionné. Réécouter l’émission : http://www.maisonbrico.com/christian-pessey/emissions-rmc/preparer-et-organiser-demenagement,11216.html