Evolution des indices servant d’indexation aux baux commerciaux, loyers de garde-meubles, etc…pour le 3ème trimestre 2013

Voici les nouveaux indices IRL, au 3e trimestre 2013, qui permettent de revaloriser les loyers perçus au titre d’un bail commercial ou professionnel, que ce soit l’Indice du Coût de la Construction (ICC), l’Indice des Loyers Commerciaux (ILC), ou l’Indice des Activités Tertiaires (ILAT).Notes indices loyer 3ème trim 2013

Les 2/3 des paies de décembre seraient fausses!

Annoncé ici la semaine dernière http://viguiesm.fr/loi-de-finances-2014-les-principales-mesures-sociales/ , l’intégration dans le net imposable des frais de mutuelle décidée en dernière minute et intégré dans la Loi de finance parue le 30 décembre conduit selon Europe 1 à ce que plus des 2/3 des soldes au 31 décembre soient faux.sans-titre

En effet, la mesure du budget 2014 prévoyant d’imposer la part patronale de la cotisation pour la complémentaire santé n’a sans doute pas être intégrée sur le mois de décembre, or la part patronale qui finance la mutuelle doit apparaître dans le revenu imposable des salariés.

Aujourd’hui, quelque 15 millions de personnes bénéficient d’une mutuelle d’entreprise obligatoire, soit deux salariés sur trois.

Les entreprises ont un peu de temps pour régulariser, le gouvernement ayant décidé d’accorder 12 jours supplémentaires aux employeurs, soit jusqu’au 12 février 2014, pour accomplir la DADS (déclaration annuelle de données sociales).

pour en savoir plus, consulter Viguié Social et petite revue de presse: http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/01/13/20002-20140113ARTFIG00575-les-feuilles-de-paie-de-decembre-sont-fausses.php

http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0203238680452-les-fiches-de-paie-de-

decembre-de-deux-salaries-sur-trois-sont-fausses-642447.php

http://www.challenges.fr/economie/20140113.CHA9129/pourquoi-votre-fiche-de-paie-de-decembre-est-sans-doute-fausse.html

http://www.lemonde.fr/sante/article/2014/01/14/confusion-autour-de-la-regularite-des-fiches-de-paie-de-decembre_4347480_1651302.html

Interdictions de circuler 2014

Les véhicules de plus de 7,5 tonnes de poids total autorisé en charge (PTAC), de transports routiers de marchandises dangereuses et non dangereuses (à l’exclusion des véhicules spécialisés et des engins agricoles), sont soumis à des restrictions de circulation.

D’une manière générale, ces véhicules n’ont pas le droit de circuler sur l’ensemble du réseau routier du samedi 22h au dimanche 22h, ainsi que les veilles de jour férié de 22h à 22h le lendemain.

Il existe également des interdictions complémentaires :

  • en période hivernale sur une partie du réseau Rhône-Alpes : les samedis 15 et 22 février, 1er, 8 et 15 mars 2014, de 7 h à 18 heures,
  • en période estivale sur tout le réseau : les samedis 19 et 26 juillet, 2, 9 et 16 août 2014, de 7 h à 19 h.

Des dérogations permanentes sans autorisation spéciale sont accordées aux véhicules qui transportent des animaux vivants, des denrées périssables, ou lors de déménagements de bureaux en zone urbaine notamment.mes camions au bureau (2)

Sur le site de Bison futé, les entreprises  trouveront le calendrier des restrictions (avec dates et horaires), ainsi que les cartes du réseau concerné et les conditions de dérogation http://www.bison-fute.gouv.fr/interdictions-regionales-de.html

Voir aussi : joe_20131226_0075 circulation 2014 et http://www.service-public.fr/professionnels-entreprises/actualites/00319.html?xtor=RSS-2

http://www.legifrance.gouv.fr/jopdf/common/jo_pdf.jsp?numJO=0&dateJO=20131226&numTexte=75&pageDebut=21388&pageFin=21389

Ecotaxe : « J+ 10 » ? où en est-on ?

L’arrêté suspendant l’Ecotaxe est paru http://viguiesm.fr/ecotaxe-suspendue-joyeux-noel/ la commission sénatoriale en place, http://www.senat.fr/presse/cp20131217a.html mais ce sont surtout les premières auditions publiques parlementaires qui ont retenu l’attention cette semaine.portique

L’ancien Ministre Borloo et la FNTR a été reçue le 8 janvier et la vidéo étant en ligne http://videos.assemblee-nationale.fr/video.5043 , l’OTRE sera reçue le 15 et une nouvelle pétition rassemblant pour le moment plus de 1000 signataires circule sur le net adressée au Président de la Commission. http://www.mesopinions.com/petition/politique/ecotaxe-ecomouv/11171. Si vous êtes contre l’écotaxe, n’hésitez pas à la signer.

Pendant ce temps, après une opération bretonne « dimanche sur les ponts » http://www.ouest-france.fr/bonnets-rouges-loccupation-des-ponts-commence-1834057 et des opérations de « bonnets rouges frontaliers » contre une affiliation obligatoire à la sécurité sociale, des portiques continuent à tomber et des radars à brûler, notamment après une nuit du 31 décembre assez agitée mais peu médiatisée et en région nantaise http://www.facebreizh.fr/v1199-chateaubriant/article-le-portique-ecotaxe-de-jans-incendie-en-loire-atlantique.html?id=7469 .

Par ailleurs, le contrat Ecomouv aurait été réceptionné par l’Etat (les pénalités de retard commençant donc à courir) sans communication sur le sujet et sans réelle marche à blanc tel que cela était prévu au départ…. Affaire toujours à suivre donc, de prochaines actions anti-écotaxe étant envisagées d’ici la fin du mois de janvier.

Les entreprises de transport doivent-elles être obligatoirement affiliées chez D&O pour leur mutuelle?

Suite à une décision toute récente du conseil constitutionnel, les règles changent. En transport l’accord mutuelle est étendu, en déménagement non. En déménagement, les entreprises qui ne sont affiliées à aucun syndicat sont libres, si elles sont affiliées, la Carcept fait actuellement tout pour les garder. Or des entreprises essaient actuellement de sortir de D&O, nous tiendrons nos abonnés au courant de l’évolution des choses.

Dans un document, l’OTRE prend position du moins partiellement, nous attendons l’argumentation de la Carcept.

« Dans sa décision du 19 décembre statuant sur la conformité de la Loi de financement de la Sécurité Sociale 2014 (n° 2013-682 DC), le Conseil Constitutionnel déclare « contraires à la Constitution » les dispositions des 2° et 3° du paragraphe I et de la seconde phrase du paragraphe II de l’article 14.

Ces dispositions instituaient une réforme du forfait social dû sur les contributions versées par l’employeur à un régime collectif obligatoire de protection sociale complémentaires en fonction de l’adhésion ou non de l’entreprise à l’organisme assureur recommandé dans l’accord de branche. Si l’entreprise choisissait de souscrire un contrat auprès d’un autre organisme assureur que celui ou ceux recommandé(s) dans le cadre du régime de branche, les contributions des employeurs étaient assujetties au forfait social :

  • au taux de 20 % pour les entreprises d’au moins dix salariés (au lieu de 8 % soit + 12%) – au taux de 8 % pour les entreprises de moins de dix salariés (au lieu de 0 % soit + 8 %).
    Les motifs du Conseil Constitutionnel tiennent au fait que l’importance de ces différences de taux créent une rupture d’égalité devant la charge publique.

                              Les autres dispositions de l’article 14 et notamment celles qui, au principal, refondent l’article L912-1 du Code de la Sécurité Sociale que le Conseil Constitutionnel avait anéanti dans sa décision du 13 juin 2013, sont donc conformes à la Constitution.

Les partenaires sociaux d’une branche pourront donc procéder à la recommandation d’un ou plusieurs organismes assureurs à la double condition que :

  • le régime de protection sociale présente un degré élevé de solidarité et comprenne à ce titre des prestations à caractère non directement contributif,

  • une procédure de mise en concurrence soit mise en place dans des conditions de transparence, d’impartialité et d’égalité de traitement entre les candidats.

    Des décrets viendront préciser les modalités de ces conditions.

    Il convient de préciser que le nouvel article L912-1 du Code de la Sécurité Sociale s’applique aux accords de branche conclus à compter le 1er janvier 2014.

Les syndicats signataires doivent donc regarder qu’elles seront les conséquences sur :

– les accords déjà étendus (TRM et TRV)

– les accords non étendus (Sanitaires et Déménagement)

Convention collective transport et obligations assimilés cadres

La convention collective des transports prévoit bien dans sa rédaction de mars 1951 que pour les ETAM, à partir du groupe 6 (coef 200), les groupes 6 à 8 soient classés en « haute maîtrise » (art 2 de la CCNA3). ce qui a des conséquences en termes de préavis, période d’essai, complément maladie, rien n’étant indiqué sur les retraites et notamment dans l’article 21 ter qui y est consacré.

Néanmoins, l’Agirc- Arcco semble bien laisser entendre qu’il y a une obligation d’affiliation http://www.agirc-arrco.fr/entreprises/affiliation-des-salaries/ (et non une simple possibilité) sur un texte antérieur de 47, http://www.retraite-repartition.fr/Affilia/internet/visualiserResumeGeneral.do? mais modifié depuis par avenant, alors que les critères de classement « Parodi » ne sont plus utilisés depuis belle lurette.

Ce qui m’étonne, c’est qu’en pratique, un agent de maîtrise « sur le tard » en fin de carrière le reste souvent car n’a aucun intérêt à cotiser (plus cher) à une caisse de cadre sans pour autant en bénéficier. C’est pour cela qu’il reste maîtrise. Il me semble que le statut « assimilé » cadre est une possibilité de bénéficier et de cotiser, sans que cela ne soit une obligation comme le laisse entendre nos mêmes sources AGIRC ARCCO.

Il me semble que la caisse de retraite obligatoire des transports Klesia – D&O devrait pouvoir le confirmer ou non, ou tout bon syndicat patronal qui se respecte… La question leur est posée.

le RSI? la plaie des entrepreneurs indépendants!

Alors que j’y suis personnellement confronté comme certainement bon nombre d’entre vous, le Régime Social des Indépendants m’appelle ses cotisations sur des montants à la fois farfelus et sans justificatifs sur N-2. Des modifications sont néanmoins à envisager (espérer?) dès cette année.

http://lentreprise.lexpress.fr/statut-creation-entreprise/rsi-ce-qui-pourrait-changer-en-2014_41907.html

Des indépendants sont montés récemment à Bercy pour faire part de leurs doléances…. http://lentreprise.lexpress.fr/statut-creation-entreprise/rsi-les-artisans-et-independants-decus-par-leur-rendez-vous-a-bercy_45089.html ce qui n’est pas sans rappelé la protestation d’une déménageuse de Montauban qui a fait de même il y a quelques mois http://viguiesm.fr/lutte-contre-les-autoentrepreneur-usant-et-abusant-du-demenagement/ . En attendant le problème des auto entrepreneurs et de la concurrence déloyale n’est pas réglé, et la grande table ronde interministérielle sur la travail illégal en déménagement qui doit aboutir à la signature d’une énième charte n’a pas avancé d’un poil, aucune nouvelle date n’étant à ce jour fixée depuis la réunion de novembre !

Comment trouver des financements hors réseau bancaire ?

Thème déjà abordé ici depuis de nombreux mois, http://viguiesm.fr/crowdfunding-financement-participatif-ou-par-la-foule/ avez vous pensé au financement participatif http://viguiesm.fr/comment-trouver-des-fonds-pour-lancer-son-business-le-developper-dynamiser-sa-tresorerie/ qui vient (enfin) d’être libéralisé en France après des mois d’intenses actions de lobbying pour rapprocher notre droit bancaire de celui des pays anglosaxon.sans-titre Mais il n’est pas simple de s’opposer au Lobby des banques, de la Banque de France et de l’association des marchés financiers. On pourra  lire l’article de vœux du journal du net, il se trouve que je connais JC Capelli depuis une trentaine d’année…  http://www.journaldunet.com/economie/expert/56143/bonne-resolution-2014—s-emparer-du-crowdfunding.shtml?

Loi de finances 2014 : les principales mesures sociales

La loi de finances 2014 n° 2013-1278 du 29 décembre 2013 a été publiée au JO du 30 décembre 2013. Vous trouverez ci-après les  principales mesures ayant un impact en matière sociale : la fin de l’indemnité compensatrice forfaitaire en matière d’apprentissage, la suppression de la taxe de 35 euros pour agir devant les prud’hommes, etc.

1)  Exonération des titres restaurants 2014

La limite d’exonération des titres restaurant 2014 est portée, à compter du 1er janvier 2014, à 5,33 euros au lieu de 5,29 €.

La participation patronale à l’acquisition de titres restaurant ne bénéficie d’une exonération de cotisations sociales qu’à condition :

– que la participation patronale soit comprise entre 50 et 60 % de la valeur nominale du titre ;

– et qu’elle soit inférieure au montant fixé par la loi (5,33 euros en 2014).

Si l’une de ces limites est dépassée, seule la partie excédentaire est toutefois réintégrée dans l’assiette des cotisations (sauf mauvaise foi ou agissements répétés).

2) Imposition des cotisations patronales sur les garanties complémentaires « frais de santé »

La participation de l’employeur à un régime de prévoyance complémentaire collectif et obligatoire était jusqu’à présent exclue, sous certaines limites, du revenu imposable du salarié.

Afin de réduire les aides publiques dont bénéficient les contrats collectifs, la loi de finances 2014 rend imposable les cotisations patronales sur les garanties complémentaires « frais de santé » dès le 1er euro.

Elles sont ainsi ajoutées à la rémunération prise en compte pour le calcul de l’impôt sur le revenu (IR).

Les autres contributions au financement d’un régime complémentaire (contributions patronales prévoyance finançant une couverture autre que celle relative à des frais de santé ou contributions salariales frais de santé et autres) sont soumises à un plafond d’exonération à l’IR modifié.

Ainsi, elles sont désormais déductibles dans la limite d’un montant égal à la somme de 5 % du plafond annuel de la Sécurité sociale (au lieu de 7 %) et de 2 % de la rémunération annuelle brute (au lieu de 3 %). Le total ne doit toutefois pas excéder 2 % (au lieu de 3 %) de 8 fois le plafond annuel de la Sécurité sociale.

Attention :

Ces changements s’appliquent aux rémunérations de 2013. Ce qui oblige les employeurs à ajuster, le cas échéant, le net imposable 2013 des salariés et à en tenir compte pour l’établissement de la DADS.

3) Suppression de la contribution de 35 euros

Depuis le 1er octobre 2011, les particuliers qui intentent une action en justice devant certains tribunaux notamment le conseil de prud’hommes doivent s’acquitter d’une taxe de 35 euros sous la forme d’un droit de timbre.

Afin d’éviter que cette taxe ait un effet dissuasif pour les contribuables les plus modestes qui souhaitent saisir la justice, la loi de finances 2014 vient d’abroger cette taxe.

Un décret du 29 décembre 2013 précise que cette abrogation s’applique pour les instances introduites à compter du 1er janvier 2014. Pour celles introduites avant cette date, les anciennes dispositions réglementaires relatives à la contribution pour l’aide juridique demeurent en revanche applicables.

4)  Suppression de l’indemnité compensatrice forfaitaire en matière d’apprentissage

Jusqu’à présent, lorsque vous aviez recours à un contrat d’apprentissage, vous pouviez bénéficier d’une indemnité compensatrice forfaitaire (ICF) fixée par votre région.

Les modalités de calcul et de versement de l’ICF sont propres à chaque région mais son montant est au moins de 1.000 euros pour chaque année du cycle de formation à proratiser, sauf exception, en fonction de la durée effective du contrat.

A partir du 1er janvier 2014, cette aide est supprimée, y compris pour les contrats en cours.

Les entreprises de moins de 11 salariés vont toutefois pouvoir bénéficier d’une nouvelle aide de la région dénommée « prime à l’apprentissage ». Cette aide ne pourra, comme l’ancienne ICF, être inférieure à 1.000 euros par année de formation, son montant et ses modalités étant fixés par les régions.

A titre transitoire, les contrats d’apprentissage conclus avant le 1er janvier 2014 bénéficieront toujours d’une aide de la région égale :

• au montant de l’ancienne ICF pour la 1re année de formation ;

• à 500 euros (1.000 euros si l’entreprise a moins de 11 salariés) pour la 2e année de formation ;

• à 200 euros (1.000 euros si l’entreprise a moins de 11 salariés) pour la 3e année de formation.

En revanche, pour les entreprises de 11 salariés et plus qui signeront des contrats d’apprentissage en 2014, aucune aide ne pourra être demandée auprès de la région.

Loi_de_finances_2014 VSM

Saisie et cession des rémunérations : barème 2014

Chaque année, le barème des saisies et cessions des rémunérations est revalorisé. Voici les montants applicables à partir du 1er janvier 2014 :

Tranche annuelle de salaire net * Tranche mensuelle de salaire net Quotité saisissable sur la tranche Fraction saisissable maximale sur la tranche Cumul des fractions saisissables (au maximum)
inférieure ou égale à 3.700 € inférieure ou égale à 308,33 € 1/20 15,42 € 15,42 €
supérieure à 3.700 € et inférieure ou égale à 7.240 € supérieure à 308,33 € et inférieure ou égale à 603,33 € 1/10 29,50 € 44,92 €
supérieure à 7.240 € et inférieure ou égale à 10.800 € supérieure à 603,33 € et inférieure ou égale à 900,00 € 1/5 59,33 € 104,25 €
supérieure à 10.800 € et inférieure ou égale à 14.340 € supérieure à 900,00 € et inférieure ou égale à 1.195,00 € 1/4 73,75 € 178,00 €
supérieure à 14.340 € et inférieure ou égale à 17.890 € supérieure à 1.195,00 € et inférieure ou égale à 1.490,83 € 1/3 98,61 € 276,61 €
supérieure à 17.890 € et inférieure ou égale à 21.490 € supérieure à 1.490,83 € et inférieure ou égale à 1.790,83 € 2/3 200,00€ 476,61 €
supérieure à 21.490 € supérieure à 1.790,83 € totalité

*Tranche majorée de 1.400 euros par personne à charge.

Exemple : Un salarié fait l’objet d’une saisie sur salaire. Il perçoit 1.500 euros nets par mois et a deux personnes à charge.

Les tranches mensuelles de salaire sont donc majorées de 1.400 / 12 x 2 = 233,33 euros.

Voici le décompte effectué pour déterminer la somme saisissable

Tranche mensuelle de salaire net Quotité saisissable sur la tranche Fraction saisissable sur la tranche
inférieure ou égale à 541,66 € 1/20 27,08 €
supérieure à 541,66 € et inférieure ou égale à 836,66 € 1/10 29,50 €
supérieure à 836,66 € et inférieure ou égale à 1.133,33 € 1/5 59,33 €
supérieure à 1.133,33 € et inférieure ou égale à 1.428,33 € 1/4 73,75 €
supérieure à 1.428,33 € et jusqu’à 1.500 € 1/3 23,89 €
Total saisissable mensuellement = 213,55 €

Décret n° 2013-1192 du 19 décembre 2013 révisant le barème des saisies et cessions des rémunérations, Jo du 21