Au final, pour 2012, les volumes de ventes dans l’ancien devraient s’établir entre 650.000 à 700.000 ventes, au lieu de 800.000 habituellement observées en moyenne annuelle. En revanche, les perspectives pour 2013 sont loin d’être optimistes. Trois facteurs supplémentaires concourront, selon les Notaires, à une nouvelle baisse du nombre des transactions : « les perspectives économiques, avec une croissance faible entraînant une poursuite inéluctable de la hausse du chômage » ; « l’attentisme des acquéreurs potentiels sur les marchés où la baisse ne se sera pas franchement enclenchée », et « l’absence de toute aide de l’Etat à l’accession dans l’ancien, à l’exclusion des zones urbaines sensibles ». Résultat : les notaires prévoient un volume des ventes tournant autour de 600.000 et indiquent qu’il pourrait même ne pas dépasser 550 000.
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